La bactériurie gravidique, en l’absence de traitement, présente une augmentation du risque de pyélonéphrite de 20 à 40 %. L’antibiothérapie permet de réduire de 75 % l’incidence d’une pyélonéphrite.
Toute colonisation asymptomatique doit être traitée.
La mise en évidence à l’uroculture d’une bactériurie à SGB justifie la prescription d’une antibioprophylaxie per-partum dans les mêmes conditions qu’en cas de portage vaginal.